mercredi 12 octobre 2016

INFIRMIERS LIBÉRAUX : le temps est arrivé de retourner les accusations contre les auteurs.


INFIRMIERS LIBÉRAUX, oui depuis près d'une décennie, ces bureaucrates de l'assurance maladie poursuivent leurs fausses accusations, dénonciations calomnieuses, mensonges et abus de pouvoir, en se rendant coupables de  manœuvres frauduleuses ou escroquerie en bande organisée.
Des bureaucrates qui se terrent dans les départements, dans des bureaux directoriaux de Cpam gardés par des troupes d'agents de sécurité.
Des scribouillards devenus au détour de réorganisations, des cadres de direction, cadres administratifs en quête d'évolution de carrière et de privilèges à l'image de ces grands patrons de l'assurance maladie ayant réussi avec brio leur passage dans les sphères des grandes entreprises du privé.
Ces coupables du harcèlement, du burn-out et de la souffrance d’un très grand nombre d’infirmiers libéraux (pourquoi cette profession, un sujet à étudier plus tard), ces coupables seront-ils bientôt inquiétés de voir se renverser contre eux les accusations mensongères qu'ils n'ont de cesse de réinventer ?
Accusations de fraude ou d’escroquerie pour simplement être soupçonné de n’avoir pas respecter la pointeuse qui aurait du enregistrer entre l’arrivée chez le patient et le départ ½ h pleine ou pour avoir travaillé un nombre d’heures supérieur à ce que les Cpam ont réussi à faire dire à un juge assis dans son fauteuil.
Ces infirmières ou infirmiers victimes des injustices et des abus des caisses d’assurance maladie, celles ou ceux qui ont vu subitement  leur avenir se détruire et leur vie familiale en supporter les conséquences, retrouveront-ils la force de débusquer ces coupables, déposer des plaintes et les traîner devant les tribunaux ?
Humiliés et  rangés au banc des accusés, mis en difficulté financière voire ruinés dans certains cas, contraints d’exercer dans des conditions extrêmement pénibles, le temps leur manque et le courage aussi pour engager une bataille contre leurs prédateurs.
Après la surprise et le désarroi, dans certains cas l’anéantissement dans les médias puis la lapidation par les autres et les confrères qui se disent irréprochables, aucun n’a encore retrouvé confiance pour crier sa colère d’être la victime (et non coupable)  d’une armée d’escrocs au col blanc usant de tous les subterfuges puisés dans la Ngap ou dans de mauvais accords conventionnels.
Parmi tous les avocats chargés des nombreux dossiers des infirmiers libéraux en conflit avec les caisses d’assurance maladie, certains plus exercés aux procédures pénales seraient-ils prêts à engager un retournement de situation ? :

Les infirmiers libéraux ne sont pas des coupables à défendre mais des victimes demandant que les coupables dans les Cpam soient confondus.

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