Judith s’est éteinte au milieu de l’été. Personne pour se
préoccuper du tourment qui a cruellement alourdi la douleur de ses derniers
moments.
Regrets – de
n’avoir pu lui exprimer notre respect
et notre admiration pour ses
nombreuses années passées au service de ses patients.
Chagrin – de voir les années de sa vie professionnelle
à dispenser des soins dans des conditions épuisantes de pénibilité, détournées
par les accusations de la caisse d’assurance maladie simplement pour disposer
de moyens d’extorquer le montant des actes qu’elle avait acquis en toute légitimité..